LA 1ÈRE RÉVOLUTION INDUSTRIELLE
A permis la mécanisation avec les machines à vapeur fonctionnant au charbon.
HMI-MBS propose des solutions innovantes, complètes et personnalisées répondant à vos besoins de solutions d’entreprise du futur. Mais… Qu’est ce que cela signifie exactement ?
Aujourd’hui, nous entendons souvent parler d’industrie 4.0, de smart factory, d’usine connectée ou intelligente, et même de révolution numérique ou digitale. Mais à quoi cela correspond ?
Les termes « industrie 4.0 » ou « usine du futur » font surtout référence au secteur industriel, de fabrication pure de produits. Ils conviennent bien au marché allemand, berceau de l’industrie 4.0 en Europe, où l’industrie représente plus de 20% du PIB.
Par conséquent, ces termes sont trop restrictifs pour le marché français à qui s’adressent nos solutions, puisque l’industrie représente environ 10% du PIB. En choisissant la terminologie « entreprise du futur », nous souhaitons toucher toutes les sociétés, quel que soit leur secteur. Les méthodes et les promesses de l’« entreprise du futur » concernent tous les acteurs économiques, l’industrie, mais aussi les services, les TPE et PME autant que les grands groupes.
Grâce aux technologies développées, les entreprises du futur pourront :
Chaque technologie apporte une solution bien précise, mais toutes sont compatibles entre elles.
La robotique collaborative, ou « cobotique » correspond à la collaboration entre un homme et un robot. La robotique collaborative est une technologie qui utilise la robotique, la mécanique, l’électronique et les sciences cognitives pour assister l’homme dans ses tâches quotidiennes. Ces technologies regroupent à la fois les bras robotisés collaboratifs, les robots mobiles intelligents (Automated Intelligent Vehicule) et les exosquelettes.
La fabrication additive ou impression 3D, d’abord réservée pour du prototypage rapide, s’est bien développée aujourd’hui. Elle s’oppose à la fabrication soustractive, où on enlève de la matière pour former le produit désiré. Les pièces sont donc construites par superposition de couches dont la production est contrôlée par ordinateur. Ce type de fabrication simplifiée est plus rapide et plus précis.
La réalité augmentée est une technologie permettant de voir, à travers des lunettes numériques ou un smartphone, des éléments numériques superposés à la réalité. Elle peut être utilisée lors d’opérations de maintenance sur une machine ou bien pour accompagner les stagiaires lors de formations.
L’intelligence artificielle (IA, ou AI en anglais pour Artificial Intelligence) consiste à mettre en œuvre un certain nombre de techniques visant à permettre aux machines d’imiter une forme d’intelligence réelle. L’IA se retrouve implémentée dans un nombre grandissant de domaines d’application et permet de traiter de lourds calculs au sein de gigantesques bases de données.
La vision artificielle, par exemple, permet à la machine de déterminer précisément le contenu d’une image pour ensuite la classer automatiquement selon l’objet, la couleur ou le visage repéré.
La simulation, souvent basée sur la réalité virtuelle ou modalisation 3D, met à profit le numérique pour réaliser des essais. Très utile lors de la conception d’objets, elle permet de simuler le fonctionnement d’une machine ou de mesurer la résistance d’un objet avant qu’ils ne soient fabriqués. A plus grande échelle, même des lignes de production et leurs cadences peuvent être simulés.
Les objets connectés (Internet of Things ou internet des objets) sont une technologie embarquée sur des objets ou machines pour relever des données en temps réels. Ils sont notamment utilisés pour suivre l’utilisation des machines et ainsi planifier les opérations de maintenance préventive, permettant ainsi de réduire les temps d’arrêt de production.
Le Big Data, complémentaire aux IoTs, permet d’analyser un grand nombre de données dans un temps records. Plus les relevés d’informations sont répétés, plus les informations sont fiables et les actions ensuite mises en place seront efficaces. Sa limite réside dans la capacité à analyser l’ensemble des données collectées.
Le Cloud Computing est une technologie déjà très répandue permettant d’accéder aux services informatiques via Internet. Elle rend notamment possible la gestion des logiciels et des données à distance. Les opérations de mises à jour et de maintenance sont alors fortement réduites, si ce n’est annulées.
La cybersécurité est une technologie dont l’arrivée est directement liée à la propagation du digital. Son objectif est d’assurer la sécurité et l’intégrité de l’ensemble des informations qui circulent sur les différents canaux, notamment lorsque les entreprises utilisent les IoTs et le Big Data. La cybersécurité protège l’ensemble des échanges de données au sein d’une entreprise.
Nombre de ces technologies ont également pour but de faciliter le travail des collaborateurs, en supprimant certaines opérations fastidieuses, en optimisant les postes de travail, en le libérant de tâches à faible valeur ajoutée, en réduisant le risque de contracter des TMS ou d’accidents du travail.
Les entreprises qui franchissent le pas cherchent des axes d’amélioration pour être plus compétitives sur le marché, et ainsi continuer ou relancer leur croissance. Elles doivent faire preuve d’adaptation dans un premier temps pour pouvoir gagner en flexibilité et en efficacité ensuite.
Le marché évolue, et les emplois aussi. Nous voyons de nouvelles compétences émerger, accompagnées de nouveaux postes, voire de nouveaux métiers. Contrairement aux idées reçues, l’entreprise du futur sera toujours peuplée d’humains. Bien que l’automatisation continue à se développer, l’homme, porteur d’innovation, sera toujours au centre de l’activité industrielle.
La cobotique ouvre de nouvelles perspectives grâce au partage des tâches, à la conception ergonomique des postes de travail et entre ainsi pleinement au centre de la lutte contre la pénibilité et de la lutte contre les TMS. Les taches pénibles et dans lesquelles l’humain a peu de valeur ajoutée sont transférées au cobot, l’homme reste concentré sur la partie la plus complexe de la tâche lui demandant dextérité, capacité de perception, analyse, apprentissage, expérience.
Cela nous montre bien que la préservation de l’opérateur humain est le meilleur garant de la pérennité de nos entreprises grâce à sa flexibilité.
Les technologies purement numériques, telles que le Big Data ou les objets connectés, nécessitent d’analyser les données mesurées, de les stocker et de les sécuriser. Une entreprise qui met en place ces technologies doit également avoir les capacités de mettre en œuvre les solutions en découlant, sans quoi ces technologies n’apporteraient pas la totalité des bénéfices envisagés.
Mais l’enjeu principal pour les sociétés est de réussir sa transformation vers l’entreprise du futur. L’Homme est évidemment au cœur de cette conversion et représente l’un des plus grands défis, quelle que soit sa fonction au sein de la structure. Même si cette nouvelle révolution industrielle redéfinit les tâches de chacun, elle permet à tous d’élargir son domaine de compétences.
Le marché évolue rapidement, en fonction des demandes et des offres qui s’y trouvent.
Afin de vous rapprocher de vos objectifs stratégiques et opérationnels fixés, il est dans votre intérêt de vous pencher sur le concept d’entreprise du futur sans attendre. En transformant votre société grâce à ces briques technologiques, vous aurez une meilleure maitrise en termes de sécurité, confort, conditions de travail, production, logistique …
En amorçant dès maintenant votre transformation pour vous rapprocher de la vision que vous avez de votre structure dans l’avenir, vous vous assurez compétitivité et pérennité.